Pour cette nouvelle lettre d’information, j’ai décidé d’aborder le sujet délicat du traitement des douleurs chroniques et aiguës et tout ce que l’on peut faire pour s’en débarrasser en diminuant l’intensité des douleurs et la fréquence des pics douloureux.
La douleur n’est pas une fatalité.
Je souhaite décrire tout ce que je propose à mes consultants sans remettre en cause le traitement allopathique qui a été prescrit.
Quels sont les types de douleurs auxquelles s’adressent ces méthodes ?
Les douleurs des règles,
les migraines et les céphalées,
les douleurs du rachis lombaire et du cou,
les douleurs abdominales dues au syndrome du colon irritable :
ce sont les plus fréquemment rencontrées.
Puis les douleurs articulaires et musculaires.
Mention spéciale pour la fibromyalgie qui trouve, avec l’hypnose et les autres techniques que je propose, une solution efficace.
Chaque type de douleur a des spécificités sur lesquelles je reviendrai au cours des newsletters suivantes. Aujourd’hui, je vais décrire les points communs de la prise en charge de l’ensemble des douleurs.
Sur quoi reposent les techniques que je propose ?
Quelques points importants…
1- La douleur provoque du stress et le stress amplifie les douleurs. Le stress est donc le premier élément sur lequel porter notre attention. L’intensité du stress de la personne s’évalue spontanément lors du premier entretien, lors de l’anamnèse.
2- Les neurosciences nous ont montré comment et pourquoi nous pouvons agir sur la douleur par des techniques non médicamenteuses : c’est notre corps qui a mal mais c’est notre cerveau qui souffre car c’est lui qui interprète cette sensation. On va donc utiliser la deuxième voie de transmission du phénomène douloureux au cerveau, pas celle sur laquelle agissent les médicaments antalgiques.
3- L’hypnose a montré la relation très étroite entre le corps et les pensées. Plusieurs techniques hypnotiques sont utilisées, en particulier la réification.
4- L’acupuncture agit directement sur le corps et indirectement sur les pensées et le mental. Vous pouvez en retrouver la description précise dans mon article « La méthodes des trois souffles » sur mon site.
5- L’alimentation a aussi un rôle à jouer car certains déséquilibres alimentaires sont responsables d’un état inflammatoire de l’organisme, lui-même capable d’augmenter les douleurs.
Certaines de ces techniques font augmenter dans l’organisme le taux des « hormones du bonheur » comme l’ocytocine, l’endorphine… sans médicament et sans danger… Avec une action contre les hormones du stress…
Donc, une action très complète !!!
C’est tout cela que nous envisageons au cours des séances.
Les patients deviennent, au fil des séances, plus autonomes.
Le corps retrouve de la mobilité, de l’aisance.
Et la joie de vivre pourrait revenir…
À très bientôt !!! Et n’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations…